Close Menu
    Facebook Instagram LinkedIn
    • العربية (Arabe)
    • English (Anglais)
    • Français
    Facebook Instagram LinkedIn
    Middle East Transparent
    • Accueil
    • Categories
      1. A la une
      2. Actualités
      3. Opinions
      4. Magazine
      Featured
      à la une Kamal Richa

      Nouvelle approche des Forces Libanaises: Alliances ou Endiguement ?

      Recent
      5 juillet 2025

      Nouvelle approche des Forces Libanaises: Alliances ou Endiguement ?

      3 juillet 2025

      Ce que nous attendons de vous, Monsieur le Président

      1 juillet 2025

      Il faut être pour Nétanyahou lorsqu’il affaiblit la menace iranienne ; et ardemment contre lui lorsqu’il détruit Gaza

    • Contactez nous
    • Archives
    • Inscription
    • العربية (Arabe)
    • English (Anglais)
    • Français
    Middle East Transparent
    You are at:Home»Actualités»Liban:  Même les partis « alliés » ne sont pas d’accord sur le détail du mode de scrutin

    Liban:  Même les partis « alliés » ne sont pas d’accord sur le détail du mode de scrutin

    0
    By Philippe Abi Akl on 29 décembre 2016 Actualités

    Les fêtes de fin d’année n’ont pas entamé la détermination du nouveau cabinet à plancher sur la loi électorale, l’ensemble des forces en présence rejetant en effet la loi de 1960 pour régir les prochaines législatives. Toutefois, le système proportionnel est loin d’être accepté par toutes les parties concernées, même entre forces politiques alliées.

     

    Si le parti des Forces libanaises a fait savoir par l’intermédiaire du député Georges Adwan qu’il reste attaché au scrutin mixte, à l’instar du courant du Futur et du mouvement Amal présidé par le président du Parlement Nabih Berry, il n’en est pas de même pour le député Walid Joumblatt qui estime de son côté que ce mode de scrutin est en fait dirigé contre lui. Pour M. Joumblatt, en effet, celui-ci vise précisément son parti, surtout à l’aune des récentes alliances politiques.
    Le parti Kataëb continue pour sa part de rejeter toutes les formules proposées et de s’attacher à la circonscription uninominale, qui, selon le parti, garantit une juste et saine représentation. Pendant ce temps, le ministre des Affaires étrangères Gebran Bassil a affirmé qu’il ne pourra accepter une nouvelle prorogation du Parlement ni un scrutin sur la base de la loi de 1960. Mais il a aussi estimé que le projet dit « mixte » ne passerait pas, car même si les Forces libanaises, le Futur, le président Berry et le PSP disent valider cette formule, il n’en reste pas moins qu’il existe des divergences de taille dans le texte proposé par chacun de ces partis. Pour M. Bassil, le texte ne respecte pas le principe d’égalité entre les citoyens. Même le Conseil constitutionnel, dans sa dernière lecture du projet, rappelle-t-il, n’a pas apporté son aval à ce texte, car il n’est pas conforme au principe de l’unicité des critères.

    Certaines parties craignent que l’adoption du scrutin mixte ne pousse ses détracteurs à saisir le Conseil constitutionnel en vue de l’invalider. D’autres rappellent à souhait que cette loi n’est qu’un texte transitoire et charnière, quel que soit le système adopté, en attendant que les acteurs politiques soient prêts à adopter un mode de scrutin pleinement proportionnel. Un ancien responsable estime à ce propos que la proportionnelle est la plus adaptée à un pays pluriel, fondé sur une composition confessionnelle et communautaire comme le Liban. Ceux qui se considèrent perdants dans ces élections pourront en effet tirer profit, lors du prochain scrutin, de l’effet de la proportionnelle qui « minimise » les gains électoraux des grands partis, notamment au sein de la communauté chiite. Celle-ci pourrait en effet sortir de son traditionnel bipartisme pour refléter les véritables aspirations de ses membres.

    À l’heure où les principaux acteurs politiques sont en train de plancher sur un projet de loi électorale susceptible d’être accepté par tous, Gebran Bassil a lâché une « bombe » en appelant à s’attacher au texte de Taëf qui avait fixé le nombre de députés à 108 avant d’être modifié sous les pressions syriennes et porté à 128. Pour lui, revenir au nombre de 108 constituerait une réforme constitutionnelle importante. Si cela n’est pas fait, il faudra alors, selon le ministre des AE, procéder à une redistribution des sièges parlementaires.

    L’Orient Le Jour

    Share. Facebook Twitter LinkedIn Email WhatsApp Copy Link
    Previous ArticleLa politique turque n’est ni ottomane ni islamiste
    Next Article Index Mondial de Persécution des Chrétiens 2017
    S’abonner
    Notification pour
    guest

    guest

    0 Commentaires
    Le plus récent
    Le plus ancien Le plus populaire
    Commentaires en ligne
    Afficher tous les commentaires
    Flux Articles récents en anglais
    • A New Palestinian Offer for Peace With Israel 6 juillet 2025 The Wall Street Journal
    • Why al-Sharaa’s success in Syria is good for Israel and the US 3 juillet 2025 Itai Melchior and Nir Boms
    • The Poisoned Chalice: President Trump’s Opportunity with Iran 27 juin 2025 General Kenneth F. McKenzie, Jr.
    • Post-Attack Assessment of the First 12 Days of Israeli and U.S. Strikes on Iranian Nuclear Facilities 26 juin 2025 ISIS
    • US ambiguity shouldn’t stop work on a two-state solution 25 juin 2025 David Schenker
    Flux Articles récents en arabe
    • كربلاء.. وسرديتها 6 juillet 2025 فاخر السلطان
    • مقال “وول ستريت جورنال” الذي يثير ضجة: إمارة إبراهيمية في “الخليل”! 6 juillet 2025 الشفّاف
    • نهج “القوات اللبنانية” الجديد في الشارع المسيحي: تحالفات أم احتواء؟ 5 juillet 2025 كمال ريشا
    • (تحديث) رسالة “سرية” من “الإصلاحيين” إلى إسرائيل عرضوا فيها دعمهم لتغيير النظام 5 juillet 2025 شفاف- خاص
    • الاستدعاءات في لبنان: عودة “الروح العضومية” 4 juillet 2025 عمر حرقوص
    19 septembre 2013

    Réflexion sur la Syrie (à Mgr Dagens)

    12 octobre 2022

    Putain, c’est compliqué d’être libanais

    24 octobre 2022

    Pourquoi je ne vais pas à Beyrouth

    10 janvier 2025

    D’un aounisme l’autre: lettre ouverte à Michel Aoun, ancien président de la République

    21 mars 2009

    L’AYATOPAPE

    Commentaires récents
    • Shaffaf dans Putain, c’est compliqué d’être libanais
    • Joumana habis dans Putain, c’est compliqué d’être libanais
    • نبيل الذوق dans Gouvernement Libanais: quand le pouvoir exécutoire rentre chez lui
    • Michael dans Nawaf Salam, le pari impossible d’un changement introuvable ?
    • أنطوان قربان dans Pourquoi Lokman, maintenant ?
    Soutenez-nous
    Donate
    © 2025 Middle East Transparent

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    loader

    Inscrivez-vous à la newsletter

    En vous inscrivant, vous acceptez nos conditions et notre politique de confidentialité.

    loader

    Subscribe to updates

    By signing up, you agree to our terms privacy policy agreement.

    loader

    اشترك في التحديثات

    بالتسجيل، فإنك توافق على شروطنا واتفاقية سياسة الخصوصية الخاصة بنا.

    wpDiscuz