L’affaire Mila a donné lieu en France à un silence assourdissant de la part des féministes. Pourquoi ?
Et bien parce que ces militantes, avant d’être des militantes féministes viennent pour leur immense majorité des idéologies de gauche et d’extrême gauche. Or, de par cette appartenance, elles se doivent donc de soutenir la lutte anti-raciste, souvent au détriment de la dénonciation des violences faites aux femmes.
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