Close Menu
    Facebook Instagram LinkedIn
    • العربية (Arabe)
    • English (Anglais)
    • Français
    Facebook Instagram LinkedIn
    Middle East Transparent
    • Accueil
    • Categories
      1. A la une
      2. Actualités
      3. Opinions
      4. Magazine
      Featured
      à la une Georges Malbrunot

      Les bonnes affaires du président au Moyen-Orient

      Recent
      17 mai 2025

      Les bonnes affaires du président au Moyen-Orient

      16 mai 2025

      La stratégie séparatiste des Emirats arabes unis

      13 mai 2025

      Les premiers secrets de l’élection de Léon XIV

    • Contactez nous
    • Archives
    • Inscription
    • العربية (Arabe)
    • English (Anglais)
    • Français
    Middle East Transparent
    You are at:Home»Categories»à la une»La « ligne rouge » de Macron contre Bachar el-Assad

    La « ligne rouge » de Macron contre Bachar el-Assad

    0
    By Le Figaro on 8 février 2018 à la une

    Si l’on en croit le ministre des Affaires étrangères pour qui tout indique que les autorités syriennes se livrent à des attaques de chlore «en ce moment», la ligne rouge présidentielle clignote dangereusement.

     

     

    • Isabelle Lasserre

    À PEINE installé à l’Élysée, Emmanuel Macron en avait fait la promesse. L’utilisation d’armes chimiques en Syrie serait une « ligne rouge » qui, si elle était franchie, ferait l’objet d’une « riposte immédiate ». Y compris de la France seule. Si l’on en croit le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, pour qui tout indique que les autorités syriennes se livrent à des attaques de chlore « en ce moment », la ligne rouge présidentielle clignote dangereusement. « Dans une ligne rouge, il y a toujours la lettre et l’esprit », rappelle cependant Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS). L’esprit, qui a été discuté avec les Américains, prend sans doute pour référence une attaque létale et d’envergure du type de celles qui ont été perpétrées à la Ghouta en 2013 et à Khan Cheikhoun en avril 2017. La première avait donné lieu à un projet de représailles dont s’était ensuite retiré Barack Obama, au grand dam de la France. La seconde avait été sanctionnée par une pluie de missiles de croisière américains envoyés par Donald Trump. On n’en est pas encore là. Les récents bombardements au chlore à Saraqeb dans le nord-ouest et à Douma près de Damas n’ont pas fait de morts. Ils font encore en outre l’objet d’une enquête des Nations unies. Mais la répétition des attaques, leur attribution au régime et le fait qu’elles aient été commises juste après la conférence internationale lancée par la France pour tenter d’interdire les armes chimiques pourraient bien faire basculer les choses. « La question d’une action militaire, symbolique, doit être posée », estime Bruno Tertrais.

    Le jeu du Kremlin

    Le sujet est au coeur de l’actualité internationale. Les Américains, qui se disent « alarmés » par les nouvelles attaques au chlore, n’excluent pas l’usage de la force. Leur agacement est nourri par l’attitude des Russes. Le Kremlin, qui avait orchestré la sortie de crise en août 2013 après l’attaque de la Ghouta, épargnant ainsi des frappes à son allié syrien, ne s’est pas assuré de la destruction intégrale de ses stocks chimiques.

    Depuis, les Russes font tout pour protéger le régime de Damas des foudres antichimiques des Occidentaux. À l’automne, ils ont torpillé, grâce à leur veto au Conseil de sécurité des Nations unies, la mission internationale sur l’emploi des armes chimiques, le JIM, qui pointait la responsabilité de Damas. Plus récemment, ils ont tenté de retarder l’adoption d’une déclaration américaine condamnant les dernières attaques chimiques et affirmant que les responsables devraient « répondre de leurs actes ».

    Le tabou des armes chimiques est brandi par la France, où la débandade américaine de 2013 a laissé des traces. Paris a toujours exercé une vigilance vis-à-vis des questions de prolifération. Et sur cette question au moins, les relations avec Donald Trump sont plus fluides qu’elles ne l’étaient avec Barack Obama. Mais comme le souligne Bruno Tertrais, « on ne peut se poser la question d’une action militaire sans étudier le contexte diplomatique et se demander si une telle action sert ou dessert nos intérêts ».

    Le Figaro

    Share. Facebook Twitter LinkedIn Email WhatsApp Copy Link
    Previous ArticleLa face cachée du politique
    Next Article Les banques suisses rejettent la tentative de confisquer des milliards saoudiens
    S’abonner
    Notification pour
    guest

    guest

    0 Commentaires
    Le plus récent
    Le plus ancien Le plus populaire
    Commentaires en ligne
    Afficher tous les commentaires
    Flux Articles récents en anglais
    • The Pope and the Vatican: Divine Right or Male Monopoly? Elderly Men Excluding Women and Youth in the Name of Heaven 13 mai 2025 Rezgar Akrawi
    • Leo is America’s first pope. His worldview appears at odds with ‘America First.’ 10 mai 2025 POLITICO
    • Most U.S. Catholics Say They Want the Church To Be ‘More Inclusive’ 5 mai 2025 Pew
    • As Church awaits a Conclave, President Trump puts up picture of himself as next Pope 4 mai 2025 Charles Collins
    • ‘Papabile’ of the Day: Cardinal Pierbattista Pizzaballa 29 avril 2025 John L. Allen Jr.
    Flux Articles récents en arabe
    • الصفقات الجيدة للرئيس في الشرق الأوسط 17 mai 2025 جورج مالبرونو
    • الاستراتيجية الانفصالية لدولة الإمارات العربية المتحدة 16 mai 2025 جان ـ بيار فيليو
    • الصين تختبر قوتها العسكرية في المواجهة بين الهند وباكستان 16 mai 2025 هدى الحسيني
    • السفير السابق في دمشق، روبرت فورد: «الشرع هو الأداة الأفضل لأميركا ضد “داعش» 15 mai 2025 خاص بالشفاف
    • جنوب آسيا يخلط الأوراق مجددا 14 mai 2025 د. عبدالله المدني
    19 septembre 2013

    Réflexion sur la Syrie (à Mgr Dagens)

    12 octobre 2022

    Putain, c’est compliqué d’être libanais

    24 octobre 2022

    Pourquoi je ne vais pas à Beyrouth

    10 janvier 2025

    D’un aounisme l’autre: lettre ouverte à Michel Aoun, ancien président de la République

    21 mars 2009

    L’AYATOPAPE

    Commentaires récents
    • نبيل الذوق dans Gouvernement Libanais: quand le pouvoir exécutoire rentre chez lui
    • Michael dans Nawaf Salam, le pari impossible d’un changement introuvable ?
    • أنطوان قربان dans Pourquoi Lokman, maintenant ?
    • Yves Montenay dans La Girouette Française et la fin de la Francophonie
    • Yves Montenay dans La Girouette Française et la fin de la Francophonie
    Soutenez-nous
    Donate
    © 2025 Middle East Transparent

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    wpDiscuz
    loader

    Inscrivez-vous à la newsletter

    En vous inscrivant, vous acceptez nos conditions et notre politique de confidentialité.

    loader

    Subscribe to updates

    By signing up, you agree to our terms privacy policy agreement.

    loader

    اشترك في التحديثات

    بالتسجيل، فإنك توافق على شروطنا واتفاقية سياسة الخصوصية الخاصة بنا.