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    You are at:Home»Nassib Lahoud: « Des ingérences inacceptables

    Nassib Lahoud: « Des ingérences inacceptables

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    By Sarah Akel on 26 septembre 2007 Non classé

    LE FIGARO – Pourquoi la coalition majoritaire du 14 mars n’a-t-elle pas de candidat unique à la présidentielle comme elle l’avait annoncé ?

    Nassib LAHOUD– Il s’agit d’une position tactique, destinée à laisser un espace de négociation avec l’op­position, car la majorité souhaite parvenir à un consensus sur un candidat issu de nos rangs dans les prochains jours. En contrepartie, nous offrons à l’opposition d’entrer dans un gouvernement d’union nationale dans lequel elle détiendrait une minorité de blocage, ainsi que la garantie de l’adoption d’une nouvelle loi électorale plus représentative.

    Un candidat de compromis ne doit-il pas, par définition, se trouver hors du 14 mars?

    Cette lecture des choses est pu­rement formelle. Je considère que mon programme peut répondre aux aspirations de l’opposition. Je lui offre en particulier l’assurance que la question des armes du Hezbollah sera résolue par le dialogue (la résolution 1559 de l’ONU appelle au désarmement du Parti de Dieu, NDLR), à condition de s’entendre sur un principe : l’État libanais doit avoir le monopole des armes. Il ne s’agit pas de désarmer le Hezbollah, mais d’intégrer à l’armée ses moyens de défense face à Israël.

    Êtes-vous d’accord sur un mécanisme pour trouver un compromis? Et, à défaut, que fera la majorité?

    Nous avons proposé à l’opposition un comité de six personnes qui sera chargé de trouver un compromis. Nous devons en discuter dans les prochains jours. Si nous échouons et que l’opposition persiste à vouloir boycotter l’élection, la majorité sera face à un choix difficile : organiser l’élection malgré tout, peut-être hors de l’enceinte du Parlement, ou accepter le vide institutionnel.

    Les véritables électeurs de la présidentielle sont-ils les députés libanais ou leurs alliés régionaux et internationaux?

    Les ingérences étrangères sont inacceptables. Pendant quinze ans (de 1990 à 2005, NDLR), alors que l’influence syrienne sur le Liban était étouffante, j’ai toujours refusé les diktats et voté en mon âme et conscience. Aujourd’hui, les conditions sont plus faciles. Le pays n’est plus occupé par Israël et il est libéré de la mainmise syrienne. Les députés n’ont aucune excuse de ne pas voter librement. Le patriarche ma­ronite a été catégorique sur ce point. Si nous ne parvenons pas à un consensus, la majorité doit pouvoir choisir son candidat à la majorité simple.

    Plusieurs ténors du 14 mars accusent la Syrie d’avoir commandité l’assassinat d’Antoine Ghanem et de vouloir empêcher les élections. Croyez-vous possible une réconciliation avec Damas?

    Une chose est sûre, tous les attentats qui ont été commis depuis trois ans ont visé des hommes politiques et des intellectuels du même bord politique. Mais j’espère que les députés de l’opposition nous rejoindront sur un point : celui de refuser de changer les réalités politiques libanaises par le moyen de l’assassinat.

    Il est temps de mettre un terme aux crimes politiques et aux ingérences étrangères. Cela dit, nous voulons des relations équilibrées avec Damas et trouver des solutions aux problèmes qui nous séparent, à savoir le tribunal international (chargé de juger les assassins de Rafic Hariri, NDLR) , la délimitation de nos frontières, l’échange d’am­bassadeurs… La Syrie doit accepter que le Liban est un pays indépendant et souverain.

    Sibylle Rizk
    Le Figaro

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