Close Menu
    Facebook Instagram LinkedIn
    • العربية (Arabe)
    • English (Anglais)
    • Français
    Facebook Instagram LinkedIn
    Middle East Transparent
    • Accueil
    • Categories
      1. A la une
      2. Actualités
      3. Opinions
      4. Magazine
      Featured
      à la une Apolline Convain

      En Syrie, la mystérieuse disparition du corps de Hafez el-Assad

      Recent
      11 juin 2025

      En Syrie, la mystérieuse disparition du corps de Hafez el-Assad

      5 juin 2025

      En Syrie, après les massacres d’alaouites, la difficulté de recueillir des témoignages : « Je n’ai pas confiance »

      2 juin 2025

      Guerre en Ukraine : Kiev démontre sa force de frappe en bombardant l’aviation russe avec ses drones, jusqu’en Sibérie

    • Contactez nous
    • Archives
    • Inscription
    • العربية (Arabe)
    • English (Anglais)
    • Français
    Middle East Transparent
    You are at:Home»Liban: Peut-être un gouvernement avant le 22 janvier

    Liban: Peut-être un gouvernement avant le 22 janvier

    0
    By Sarah Akel on 7 décembre 2013 Non classé

    L’ÉCLAIRAGE

    Peut-on considérer que le pays est d’ores et déjà entré de plain-pied dans la phase de l’élection présidentielle, de sorte que tout ce qui s’y décide soit en rapport avec elle, ou bien doit-on croire que cette échéance continuera à être jugée lointaine d’ici à mars prochain, le temps que la situation en Syrie se décante ?

    Pour un ministre du gouvernement sortant, il est clair que la présidentielle commande désormais toute la vie politique et en particulier le dossier de la formation du nouveau cabinet.

    Sur ce dernier point, des visiteurs du palais de Baabda rapportent qu’au cours de leur dernière réunion, il y a quelques jours, le président de la République, Michel Sleiman, a demandé au Premier ministre désigné, Tammam Salam, de procéder à une évaluation du dossier à la lumière des positions de chacune des parties politiques et de leurs conditions au sujet de la formation du gouvernement.

    Une fois cette évaluation faite, et le constat du blocage établi, le chef de l’État entend franchir le cap et inciter M. Salam à mettre sur pied un gouvernement qui serait à la fois « rassembleur » et « juste », mais d’autant moins soumis aux conditions posées qu’il est censé pratiquement dès le début ne rien faire d’autre qu’expédier les affaires courantes du fait de l’entrée du pays en période électorale. Officiellement, c’est à partir du 25 mars que le Parlement devient un corps électoral et cesse dès lors de se livrer à toute activité législative. Mais, dans les faits, ce volet de l’action parlementaire est paralysé depuis plusieurs mois en raison des différends d’interprétation entre les blocs parlementaires sur les prérogatives de la Chambre à l’ombre d’un gouvernement démissionnaire.

    Quoi qu’il en soit, il semble une fois de plus, à en croire nombre d’observateurs, que le président Sleiman soit réellement déterminé à ce qu’un cabinet soit mis sur pied au début de 2014, préférablement avant le 22 janvier, date fixée pour la tenue de la conférence de Genève 2 sur la Syrie.

    Ce besoin se fait d’autant plus ressentir que le cabinet sortant, démissionnaire depuis plus de huit mois, ne fait pratiquement plus rien, comme ont pu le constater les citoyens à l’occasion des graves perturbations causées ces jours derniers par les pluies diluviennes.

    Parallèlement, le chef de l’État réaffirme devant ses visiteurs son refus de toute prorogation et de tout renouvellement de son mandat de président. Face à toutes les rumeurs qui lui attribuent à tout prix une volonté de proroger son mandat, il assure à cet égard qu’à la fin mai, il aura quitté le palais de Baabda et sera à son domicile à Amchit.

    Partant de là, l’idée du président, et c’est là l’essentiel, est de laisser derrière lui un gouvernement rassembleur susceptible d’assumer les prérogatives de la présidence de la République en cas de vacance après le 25 mai, date de l’expiration du mandat.

    Le chef de l’État se fonde en cela sur le fait que le gouvernement actuel ne saurait à ses yeux assumer ces prérogatives, non pas tant parce qu’il est démissionnaire, mais essentiellement parce qu’il est monochrome ou presque. Le but de M. Sleiman est donc de former un cabinet qui rassemble tout les protagonistes politiques, quelle que soit la formule qui sera retenue, à savoir la « 9/9/6 » (neuf ministres au 14 Mars, neuf au 8 Mars et six aux centristes), « 8/8/8 » ou toute autre.

    Même si un tel gouvernement n’était pas investi de la confiance de la Chambre, ce qui le condamnerait à expédier les affaires courantes – c’est de toutes les façons ce qu’il aurait à faire – c’est lui et nulle autre institution qui serait en charge d’assurer l’intérim de la première magistrature, dans la mesure où le président de la République aura apposé sa signature aux décrets de formation du gouvernement.

    La différence d’interprétation est ici on ne peut plus claire avec les milieux du président de la Chambre, Nabih Berry, qui estiment qu’un gouvernement n’ayant pas obtenu la confiance des députés ne peut pas assumer les prérogatives présidentielles en cas de vacance à ce niveau.

    De nombreux constitutionnalistes affirment au contraire que c’est le gouvernement, et seulement celui-ci, qui est en mesure d’assumer ces prérogatives, surtout lorsqu’il s’agit d’un gouvernement de rassemblement.
    De leur côté, les chancelleries occidentales pressent de plus en plus les responsables de former un gouvernement au plus tôt pour éviter de tomber dans le vide institutionnel.

    L’Orient Le Jour

    Share. Facebook Twitter LinkedIn Email WhatsApp Copy Link
    Previous ArticleAntioche entre Kremlin et Vatican
    Next Article Choses vues en Syrie

    Comments are closed.

    Flux Articles récents en anglais
    • The Political Economy of Reform in Lebanon and its Challenges 23 juin 2025 Khalil Youssef Beidas
    • Sky Theft: How MEA’s Monopoly Is Pricing Lebanon Out of the Skies 19 juin 2025 Zouzou Cash
    • Preparing the ground for the big Iranian operation 18 juin 2025 Salman Masalha
    • Brig. « Yossi »  Kuperwasser: We are promoting a new order! Saudis, Lebanon and Syria can join! 15 juin 2025 Shaffaf Exclusive
    • Don Corleone’s Succession: A Godfather Remake. 15 juin 2025 Zouzou Cash
    Flux Articles récents en arabe
    • من هيروشيما إلى طهران… هل نعود إلى بداية الطريق 24 juin 2025 نور الحصني
    • لماذا أتعاطف مع إيران أحيانًا؟ 23 juin 2025 سلمان مصالحة
    • الإقتصاد السياسي للإصلاح في لبنان، وتحدّياته! 23 juin 2025 خليل يوسف بيدس
    • كيف ستتصرف سيئول بعد انتخاب ميونغ رئيسا جديدا؟ 22 juin 2025 د. عبدالله المدني
    • “من المُستفِزّ إلى المتوسّل”: هانيبال القذافي طلب مساعدة سويسرا ولبنان يعتقله بلا سند قانوني! 21 juin 2025 سويس أنفو
    19 septembre 2013

    Réflexion sur la Syrie (à Mgr Dagens)

    12 octobre 2022

    Putain, c’est compliqué d’être libanais

    24 octobre 2022

    Pourquoi je ne vais pas à Beyrouth

    10 janvier 2025

    D’un aounisme l’autre: lettre ouverte à Michel Aoun, ancien président de la République

    21 mars 2009

    L’AYATOPAPE

    Commentaires récents
    • Shaffaf dans Putain, c’est compliqué d’être libanais
    • Joumana habis dans Putain, c’est compliqué d’être libanais
    • نبيل الذوق dans Gouvernement Libanais: quand le pouvoir exécutoire rentre chez lui
    • Michael dans Nawaf Salam, le pari impossible d’un changement introuvable ?
    • أنطوان قربان dans Pourquoi Lokman, maintenant ?
    Soutenez-nous
    Donate
    © 2025 Middle East Transparent

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    loader

    Inscrivez-vous à la newsletter

    En vous inscrivant, vous acceptez nos conditions et notre politique de confidentialité.

    loader

    Subscribe to updates

    By signing up, you agree to our terms privacy policy agreement.

    loader

    اشترك في التحديثات

    بالتسجيل، فإنك توافق على شروطنا واتفاقية سياسة الخصوصية الخاصة بنا.