Le retour vers les terres brulées

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Le retour vers les terres brulées ou la vraie fausse histoire de l’homme le plus recherché de ma planète terre … au nom d’Oussama !!!

Moi « le Nigaud » petit fils du Grand Malin des Cieux, je comprends pourquoi je suis si courageux mais l’histoire n’est pas assez « certaine » sur ce « chawi » serviteur tout de zèle de « Mohamed le prophète »…Oussama Ben Laden.

Ecoutez-moi et vous connaitrez mieux « le Maître de toutes les paroles »
Oussama !! Un homme tout de bon que ce gredin !

Il est tellement prolixe pour laver les billets verts que sa tante vertueuse normande de naissance qui l’a si humblement éduqué en est toute bouleversée dans son coin de Paradis. Furieuse de son attitude, ce n’est pas de « Vedette » dont elle parle mais c’est « Laden » qu’elle le baptise en souvenir des jours anciens passé à la Télé. La « pauvre Mère Denis » en a même perdu son latin de province quand elle raconte son « Ben » ce grand fils d’Arabie… qui s’est mis en devoir de parodier son grand oncle Lawrence !!!

On n’a pas tout vu à Koh Lanta… et c’est Jamel Debbouze !!!

« Laden » tenait de la bête, du démon et de l’homme. Un Véritable monstre, un vrai paquet de nerfs et d’instincts. Avec cela des manières rudes. Il n’a d’égards ni pour les biens ni pour la vie de ses semblables.

Ses vols, ses assassinats ne se comptent plus, il était désespérant et désolait le monde. Ce qui est plus grave, est que personne n’osait l’accuser ouvertement alors que jamais homme n’aura plus de crimes à son actif. On rapporte même qu’il est pire que Satan pour ses maléfices. Il est capable de tuer à volonté tous les infidèles en poignardant leurs âmes qu’il tient ensuite prisonnières dans une aumônière remplie de poudre blanche terrible, maléfice pour tous les serviteurs du monde chrétien.

Son tonton « Massoud » le frère du cousin de sa bonne amie « Shahrazade » disait pourtant d’un ton prophétique en parlant de lui dans les montagnes du Nord peuplées d’intégristes rétrogrades : « il n’est point de prière qui n’ait un Amen ».

La mémé de nos foyers désolés s’en plaignait au Saint, pas ce lui des « polards de gare » mais le Grand Pierre « des appartements royaux du bon Dieu des chrétiens ».

Aussitôt dit, aussitôt fait. « Laden » quitta le monde des vivants. Ce fut une immense clameur sur toute la terre et l’Occident cria sa joie.

Enfin leur chef, le fils Bush des bonnes consciences du « Vrai Monde » pouvait de nouveau respirer et dormir dans sa grande Maison Blanche en rêvant à ses « deux belles sisters » parties un matin de septembre pour le pays des ombres sans même un adieu et dans un fracas terrifiant.

« Oussama » s’en alla tout droit en Enfer sans le moindre procès. Dès son arrivée il s’empressa de se procurer des dés à jouer, un jeu de cartes, quelques paires de « chiens de combat » talibans de leur état déjà sur place, et un grand tambour de cérémonie.

Depuis que l’Enfer avait reçu cet hôte encombrant, les vols se multipliaient et aussi les assassinats et l’oisiveté était devenue la règle. Ce n’était que combats et querelles sanglantes. Même le « Grand Lucifer » en perdit le moral.

Un matin, surpris, il trouva sur son lit une poule noire décapitée avec une croix indigo sur la poitrine, des grains de maïs et même des pistaches grillées. Ce jour là le Gardien Chef de l’Enfer resta cloué au plumard par des douleurs atroces qui lui paralysèrent tous les membres. Oussama, sans enquête, fut rapidement désigné. On décida dans l’empressement de la tenue de la « Charia Maléfique » un tribunal d’exception qui vota d’une seule fourche le renvoi immédiat de « Laden dont » les malédictions et les méfaits terrifiaient les démons eux mêmes.

La « fatwa des diable rogues » fut proclamée et Laden fut à nouveau précipité sur la terre.

Il retourna dans sa grotte préférée à coté de son cousin Omar. Non pas le grand poète Khayyâm celui qui est ton parent mais l’autre, l’affligeant « patchouli », le mollah de Kandjar qui sait rouler qu’à bicyclette. Le lendemain, la nouvelle de son retour provoqua une panique dans tous les pays et en particulier le sien qui venait de retrouver un vrai « Shad Ayatollah » pas comme celui des contes de Perrault, botté et culoté mais carnassier dans l’âme.

A en croire la légende, les habitants effrayés désertèrent plutôt que de vivre dans la férule de ce bandit vomis par l’enfer. Depuis le pays qu’abritait « Ben Laden Oussama » est désert, laissant incessantes toutes les bonnes âmes errer dans leurs tourmentes.

C’est mon Saint Patron le « Tartarin » fierté des chasseurs qui m’a donné en son jour de fête la conclusion de cet authentique histoire. Pour honorer l’avènement de sa venue dans le monde des vivants, c’est avec fierté que je t’en remets moi « le Nigaud » le secret de l’avenir de cette triste histoire.

EPILOGUE

Après bien de combats et autant de dialyses du sang des vierges du paradis qu’il avait réussi à dealer, le jour ultime arriva pour « Laden », il mourut à nouveau. Il se retrouva direct à la « Porte des Ténèbres » et la c’est le Patron lui-même qui pris les choses en mains.

Notre Père des Cieux ramassa de l’argile. Il l’a pétri, il la roula, il l’aplatie. Il en fit une lune ronde jaune et dorée, il lui mit deux yeux et un sourire arc-en-ciel, et un grand bonnet avec un pompon noir.

C’est « Pierrot de lune » qui revient en sauveur pour les humains. Malheureusement il s’amouracha de « Térébenthine » une bien belle veuve plein d’ardeur des pays de l’Orient. Aux dernières nouvelles, le couple infernal chante à tue-tête la « Salsa du Démon »…et s’en vont vers l’Afghanistan, cavalier cavalière pour de nouvelles bacchanales infernales laissant le monde à nouveau dans l’émoi… Mais cela est une autre histoire…

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