Ce dernier variant du Covid-19 aurait dû être fêté, comme je l’avais préconisé début janvier et dûment écrit, le 6 janvier, à l’Épiphanie, autour d’une bonne galette pour 6 personnes dans laquelle auraient été cachées 6 doses de vaccins, une dose issue de chaque laboratoire, qui s’est couvert de gloire pour absolument rien ! Les couronnes leur auraient été attribués – à ne pas mâcher bien sûr-, du moment qu’elles sont en carton…
Ce que l’Homme se prenant pour Dieu a tenté de faire et surtout de contraindre à faire, la Nature, plus modeste et plus digne de confiance, est en train de le réparer. J’avoue avoir été lâche de demander à Middle East Transparent de retirer mon article publié le 5 janvier l’espace de 24 courtes heures. Je le publie maintenant en assumant mes propos et avec la fierté d’avoir eu raison.
Personne ne remet en question la nocivité du Covid-19, encore moins lorsque le variant anglais est apparu. Personne n’a oublié ou n’oublie ces centaines de milliers de personnes fauchées par cet infâme virus, à l’image de l’humain 2.0, certainement fait main. Surtout lorsqu’on a perdu des proches et que la douleur de la perte est encore très vive ; pertes qui ont eu lieu (pour la majorité des cas) non pas à cause du virus lui-même, mais par le retard mis à le soigner, voire même, en prenant l’exemple de la France à cause de l’interdiction faite aux médecins de prescrire… et de guérir.
Or, entre le Doliprane et l’intubation, il y a un large éventail d’antiviraux et autres boosters d’immunité qui agissent et qui sauvent des vies. On l’a essayé et ça a marché chez les personnes qui n’ont pas de comorbidité.
J’ai contracté le Covid-19 il y a 13 mois, dans la nuit du 1er au 2 janvier 2021, et j’ai commencé à le combattre avant même d’attendre les résultats de ma PCR. Tenant compte des symptômes, il ne pouvait s’agir que de cela, je n’avais jamais éprouvé des douleurs aussi intenses que rien ne calmait. J’ai fait ce qu’on appelle aujourd’hui un « Covid long » qui a laissé des séquelles traumatisantes que j’ai mis des mois à « réparer ».
Dans un premier temps, je voulais prendre le premier vaccin qui serait disponible au Liban. Puis, petit à petit, j’ai réalisé que les vaccins étaient « politisés ». Que certains étaient reconnus en Europe et d’autres pas. Que le vaccin chinois n’offrait curieusement aucune immunité alors que le coronavirus est « Made in China », que l’Astrazeneca ne protégeait qu’à 60%, etc. En gros, il y avait toutes les semaines des vérités et des contre-vérités.
J’ai reconsidéré ma position d’autant plus que les anticorps, acquis à la sueur de ma souffrance personnelle, étaient nombreux et me protégeaient mille fois plus que ceux induits en labo. Puis la course entre les variants et les vaccins a commencé, plus on vaccinait, plus le virus se répliquait et revenait masqué, sous un autre nom. C’est ainsi que les moins érudits ont fait connaissance avec l’alphabet grec et c’est bien dommage qu’ils l’aient appris ainsi. La Grèce possède des lettres de noblesse bien plus reluisantes que celles portées par un horrible virus tueur.
Venons-en aux faits : je suis sans doute l’une des personnes les plus concernées (voire passionnées) par les avancées de la médecine et une pro vaccins jusqu’à l’overdose. Je ne suis ni naturopathe ni homéopathe. J’adore la chimie et les médicaments « classiques ». J’ai fait faire à mes enfants (et à moi-même) tous les vaccins qui pourraient les/me protéger contre un virus, d’en tomber malade, et/ou de le transmettre. Mais quand on me propose une injection encore au stade expérimental, à laquelle je dois consentir pleinement et y souscrire aveuglément -sans aucun recours possible- puisque l’urgence pandémique l’impose, je ne me jette pas les yeux fermés. Surtout quand ledit « vaccin » n’empêche ni la contamination ni la transmission, mais « atténuerait les formes graves », et encore…
À ce stade, autant dire que je me suis totalement refroidie, d’autant plus que les variants se développent à une vitesse incroyable et échappent à la protection vaccinale. Branle-bas de combat, on recommande, que dis-je, on impose un « booster », une troisième dose. Puis un pass sanitaire et là un pass vaccinal avec QR code et tutti quanti.
Alors c’est non, mille fois non, d’autant que le variant Omicron semble faire du bon boulot sans trop de dégâts et pourrait peut-être offrir enfin au monde cette herd immunity (immunité du troupeau) naturelle qui mettrait idéalement fin à la pandémie.
Lorsqu’on arrive au point de porter atteinte aux libertés individuelles, ça ne rigole plus, c’est louche, c’est immonde.
Aussi, lorsque beaucoup de personnes vaccinées se promènent sans masques, font des bisous et vous éternuent à la figure, ce n’est plus vous – qui portez un double masque et respectez les gestes barrières de manière obsessionnelle- qui êtes en défaut, mais bien ceux qui vous toisent du haut de leur troisième dose qui non seulement ne les protège de rien, mais qui sont eux-mêmes dangereux pour vous !
On ne peut pas cliver le monde entre vaccinés et non-vaccinés, et faire des non-vaccinés les boucs émissaires de l’échec monumental d’une stratégie sanitaire qui ne les concerne pas. Les non-vaccinés, eux, protègent les autres et se protègent. Ils sont en mode confinement à temps plein. Ce sont les vaccinés, forts d’une immunité illusoire, qui se sont débarrassés de leurs masques, mènent une vie normale et contaminent à tout-va !
Je pense sincèrement que le monde va mal et qu’il y a une dérive et un clivage malsains qu’il faut absolument stopper. En tous cas, en ce qui me concerne, je vis en misanthrope et je ne risque pas de contaminer quiconque. Je n’ai aucun problème à ne plus prendre l’avion si cette histoire de pass n’est pas assouplie, voire à rayer purement et simplement l’option voyage de ma vie en attendant que le monde recommence à tourner rond.
Je ne me soumettrai pas à cette répression honteuse. Il m’appartient à moi seule de décider ce que je souhaite me faire injecter dans le corps ou pas. Et puis cette pandémie gérée par le trio « laboratoires, politiciens, médias » s’est avérée être le flop du siècle. Il fallait réunir les chercheurs et les virologues du monde entier et leur donner tous les moyens d’agir. C’est à eux qu’incombe la tâche de trouver une cure et un vaccin. Mais une cure d’abord. Au lieu de cela, la gestion a été confiée à des personnes aussi éloignées de la médecine qu’un aller-retour sur la planète Mars.
L’hécatombe en Italie, et l’inaction des pays voisins, ça ne vous dit rien ? L’absence de masques, les hôpitaux privés de tout en France, aussi ? La fermeture récente de centaines de milliers de lits, pourquoi ? Pour sonner l’alarme, semer la terreur et dire que les hôpitaux sont « saturés » par les cas Covid et inciter ainsi les récalcitrants à se soumettre à la vaccination ? Puis forger un gouffre entre les vaccinés et les non-vaccinés est infâme. Ça fait penser à un remake de la peste des temps modernes…
La bonne nouvelle dans tout ça, parce qu’il faut quand même conclure sur une note positive, ce sont les 15 000 médecins et virologues du monde entier qui se sont ralliés et ont signé dernièrement une convention dénonçant ces pratiques. Le bras de fer ne fait que commencer…
Pour ma part, je ne me ferais vacciner que lorsque je serais convaincue que le vaccin est LA solution pour en finir avec le Covid, de préférence dès qu’un vaccin travaillé selon les bonnes vieilles méthodes dépourvues d’effets secondaires verra le jour et d’ici là (je le souhaite très fort), peut-être que je n’en aurais plus besoin !
PS : Si mon médecin traitant tombe sur ce papier, il me passerait un de ces savons ! 😉
PS2 : Comme par hasard, un pays après l’autre souhaite reprendre « la vie d’avant le Covid-19 », les mesures s’assouplissent partout, et le pass vaccinal devrait être levé d’ici fin mars en France… Humm, les élections sont aux portes et il faut quand même rallier les voix de ceux qui avaient envie d’emmerder à leur tour celui qui avait « envie de les emmerder » alors que qu’il était leur candidat naturel…À voir, à voir…
PS3 : Je bénis mes anticorps naturels encore présents à l’appel et en quantité bien au-delà de celle que j’espérais.
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*Beyrouth