Dans la semaine du 17 au 25 octobre des services de renseignements occidentaux (notamment européens) ont trouvé des preuves d’un complot pour déstabiliser le régime du PrésidentDenis Sassou N’Guesso.
Ce dernier avait décidé de modifier la constitution et de demander au peuple Congolais de se présenter par la voie d’un référendum le 25 Octobre.
L’enquête menée par différents diplomates et services secrets européens ont démontré que certains opposants avaient une liste de 50 dirigeants congolais dont il fallait menacer les familles et bruler les voitures et résidences.
Une autre partie du plan consistait à provoquer les forces de sécurité pour les contraindre à tirer sur les opposants. Un document à été trouvé diffusé par des mystérieux organismes (SALER, MNeD.. etc).
Des jeunes congolais désœuvrés et connus pour leurs liens avec des bandes de voleurs auraient aussi été manipulés pour envoyer des cocktails Molotov sur les forces de l’ordre.
Plusieurs vidéos ont été prises par des agents de services de renseignements européens. Et des conversations ont été captées montrant que des anciens ministres passés dans l’opposition savaient que des opérations violentes seraient déclenchées contre les militaires et l’entourage du président du Congo.
Un groupe d’opposition FROCAD a même montré à des journalistes étrangers, des plans de déstabilisation de groupes français (Total, Bolloré) installés au Congo-Brazzaville.
Les plans de déstabilisation devraient viser aussi des ambassades étrangères pour obliger l’armée à intervenir et à réprimer durement.
Le plan était aussi étendu à Pointe-Noire la capitale économique.
Le président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou N’Guesso, au pouvoir depuis de nombreuses années, a fait savoir à plusieurs chefs d’Etat africains, mais aussi européens, russes et chinois, que « la situation était sous contrôle » et qu’il avait donné des instructions pour ne pas envenimer les choses et qu’il espérer un nouveau dialogue constructif.
Cependant, de nombreux observateurs étrangers restent très prudents et craignent de nouvelles tentatives de violence dans les prochaines semaines et avant la campagne pour les élections présidentielles prévues en juillet 2016.
Le ministre des affaires étrangères congolais refuse tout commentaire.