Les attaques des parlementaires européens contre l’Angola sont inspirées par l’opposant Rafael Marques et la député PS portugaise Ana Gomes. L’objectif est de s’attaquer aux « affaires » de la fille du Président, Isabel Dos Santos. Pourtant selon plusieurs rapports internes et confidentiels de la Banque Centrale Européenne et de l’OCDE, les transactions financières d’Isabel Dos Santos ont toujours été faits par des cabinets de juristes respectant les lois en vigueur. Plusieurs enquêtes qui avaient été lancées n’ont abouti à aucune sanction.
Une équipé d’experts financiers travaillant pour l’UE a, dans un pré-rapport, mis en doute les analyses de Rafael Marques. Ce dernier serait mal informé et ferait des amalgames.
Les observateurs de l’UE font aussi remarquer que Rafael Marques cherche à vendre ses livres à des éditeurs et des producteurs de séries télévisées moyennant de fortes compensations financières et des droits financiers sur les traductions.
Ce qui met en cause son objectivité, car il est soutenu aussi par des milieux désirant avoir des opportunités d’affaires en Angola. …
Les services officiels angolais se refusent à tout commentaire.