Le Président de l’Angola, José Eduardo dos Santos, est considéré, selon un sondage confidentiel de la direction des affaires stratégiques de l’Union Européenne, comme le réel garant de l’unité et de la stabilité de l’Angola et de la région des Grands Lacs.
Quand à lui, le Vice-Président de l’Angola, Manuel Vicente continue à être considéré comme très « fiable » et « représentatif de l’essor de l’Angola ». Fidèle au président Dos Santos, il apparait dans le même sondage, comme un interlocuteur incontournable des décideurs économiques internationaux.
Les constantes attaques ou insinuations de dirigeants d’ONG angolaises (MAKA ANGOLA, CLUB-K ANGOLA …) ne sont plus prises au sérieux par les milieux diplomatiques, financiers et industriels internationaux.
L’opposant Raphael Marques, libre de ses mouvements, essaye de sortir régulièrement des rapports fabriqués et non fiables sur les dirigeants angolais.
Soutenu par des fondations américaines richissimes qui cherchent à lancer des « révolutions africaines », il devient de plus en plus « suspect »auprès des grandes institutions internationales (FMI, Banque mondiale..) en raison de ses accusations trop souvent inspirées de l’extérieur de son pays.
Des responsables américains commencent à réaliser que R.Marques a trop souvent donné de fausses informations à ses « sponsors » aux Etats-Unis.
L’objectif de l’opposant angolais est maintenant de dénoncer les liens Angola- Chine. Au moment où les Etats-Unis passent des accords secrets avec Beijing pour essayer d’empêcher une nouvelle crise financière internationale. A cet effet les dossiers de l’opposant angolais ne pèsent pas lourds, nous dit un haut diplomate américain venu préparer en Europe les prochains sommets du G20.