Close Menu
    Facebook Instagram LinkedIn
    • العربية (Arabe)
    • English (Anglais)
    • Français
    Facebook Instagram LinkedIn
    Middle East Transparent
    • Accueil
    • Categories
      1. A la une
      2. Actualités
      3. Opinions
      4. Magazine
      Featured
      à la une Kamal Richa

      Nouvelle approche des Forces Libanaises: Alliances ou Endiguement ?

      Recent
      5 juillet 2025

      Nouvelle approche des Forces Libanaises: Alliances ou Endiguement ?

      3 juillet 2025

      Ce que nous attendons de vous, Monsieur le Président

      1 juillet 2025

      Il faut être pour Nétanyahou lorsqu’il affaiblit la menace iranienne ; et ardemment contre lui lorsqu’il détruit Gaza

    • Contactez nous
    • Archives
    • Inscription
    • العربية (Arabe)
    • English (Anglais)
    • Français
    Middle East Transparent
    You are at:Home»Categories»à la une»La France et l’Arabie saoudite au chevet du Liban

    La France et l’Arabie saoudite au chevet du Liban

    2
    By Georges Malbrunot on 7 décembre 2021 à la une

    Riyad, qui a coupé les ponts avec Beyrouth, ne s’est engagé que sur de l’aide humanitaire.

    Emmanuel Macron a-t-il réussi à persuader le prince héritier saoudien, Mohammed Ben Salman (MBS), qu’il a rencontré samedi à Djedda, de revenir au secours d’un Liban qui n’en finit pas de sombrer ? Les deux hommes ont téléphoné ensemble au premier ministre libanais, Najib Mikati, a dit le président français à l’issue de ses entretiens avec MBS, qui clôturaient sa tournée de deux jours dans le Golfe.

    « L’Arabie saoudite et la France veulent s’engager pleinement » pour un « réengagement de la relation » entre Riyad et Beyrouth après une grave crise diplomatique. Ce réengagement a également un volet financier, a ajouté Emmanuel Macron. Mais « je crains que l’aide saoudienne ne soit qu’humanitaire », nous a confié un responsable libanais à Beyrouth. Ce qui ne permettra pas de traiter les racines politiques de la crise libanaise.

    Selon la presse, l’Arabie a rejeté une proposition française de convier le premier ministre Mikati à une rencontre à trois avec MM. Macron et Ben Salman. Paris a dû se contenter d’un appel téléphonique. « Notre volonté est que le gouvernement (libanais) puisse travailler de manière normale, et se réunir au plus vite, et mener les réformes utiles », a déclaré Emmanuel Macron, qui devait appeler dimanche le président libanais, Michel Aoun.
    La crise économique au Liban a été aggravée par sa brouille diplomatique avec plusieurs États du Golfe. Riyad a rappelé fin octobre son ambassadeur à Beyrouth et expulsé l’ambassadeur libanais à la suite de propos du ministre de l’Information, Georges Kordahi, critiquant l’intervention militaire du royaume saoudien au Yémen et défendant les rebelles houtistes pro-iraniens dans ce pays. La veille de la rencontre Macron-MBS, M. Kordahi a annoncé sa démission. Ryad a également interdit les importations du Liban, et trois autres pays du Golfe – Bah­reïn, les Émirats arabes unis et le Koweït – ont pris des mesures de rétorsion à l’égard de Beyrouth.

    Il n’est pas certain que cette initiative franco-saoudienne permette d’avancer vers un règlement de la longue crise libanaise. L’Arabie, soutien historique de la communauté sunnite, à qui revient le poste de premier ministre au Liban, répète depuis plus d’un an qu’elle ne veut plus aider politiquement et financièrement un pays dominé par le Hezbollah, mouvement chiite soutenu par l’ennemi juré iranien. En juin dernier, Riyad n’avait même pas participé à la conférence internationale pour aider l’armée libanaise, organisée par la France.

    Ce timide acquis a toutefois permis à Emmanuel Macron de faire taire les critiques sur sa rencontre avec MBS qui, selon la CIA, a ­« validé » l’assassinat en 2018 du journaliste Jamal Khashoggi, un crime qui a considérablement terni l’image du jeune prince héritier. Emmanuel Macron a été le premier dirigeant occidental à venir lui serrer la main en Arabie. Le président assume son geste, estimant que si l’on veut compter dans cette région, un lien avec le plus grand pays du Golfe est indispensable. Sa rencontre avec MBS avait été dénoncée par les organisations de défense des droits de l’homme.

    Emmanuel Macron avait rencontré puis dîné vendredi soir avec l’émir du Qatar, Cheikh Tamim al-Thani, qu’il a remercié pour l’évacuation de 258 Afghans, « menacés en raison de leurs engagements ou liens avec la France », après la conquête de leur pays par les talibans. La brève étape qatarie a également permis au chef de l’État de remettre sur le tapis le dossier sensible du financement d’associations islamistes françaises par des individus privés qataris.

    Lors de ce voyage, le coordonnateur du renseignement, Laurent Nuñez, a remis à son homologue qatari une liste d’une quinzaine de ces associations qui reçoivent de l’argent venu de Doha.

    LE FIGARO
    Share. Facebook Twitter LinkedIn Email WhatsApp Copy Link
    Previous ArticleBonaparte sauvera-t-il l’islam de France
    Next Article Justice: la décision parisienne qui menace les banques libanaises
    S’abonner
    Notification pour
    guest

    guest

    2 Commentaires
    Le plus récent
    Le plus ancien Le plus populaire
    Commentaires en ligne
    Afficher tous les commentaires
    Khalil Hitti
    Khalil Hitti
    3 années il y a

    Un minimum de bon sens exigerait de rappeler que « l’Iran » des mollahs, qui n’est assurément pas l’Iran des Iraniens (cf. les intifadas iraniennes à répétition réprimées par les mollahs), commet des assassinats style Kashoogi à un rythme routinier soutenu et non seulement en Iran, sans déranger plus que ça ni les US et la CIA, ni la France, ni aucune des autres voix outrées par l’assassinat de Kashoogi.
    Un minimum de sérieux exigerait aussi d’appeler le Hezballah organisation terro-islamiste, plutôt que « mouvement chiite ».

    0
    Répondre
    Khalil Hitti
    Khalil Hitti
    3 années il y a

    Comment Macron peut-il sérieusement inciter l’Arabie saoudite à revenir au secours d’un « Liban » gouverné par une milice terro-islamiste qui conduit au Yémen une guerre au quotidien contre les civils saoudiens sur leur territoire? Un Macron englué dans quelques crédos un tantinet singuliers du Quai, perroquetant aux quatre coins que le Hezballah est un parti libanais (!), qu’il est représenté au parlement, qu’il a une aile civile (!) et une aile militaire et que la seconde seule est à condamner. Comme si, à supposer quelque réalité à ces crédos, ils légitimeraient quantités d’assassinats individuels et collectifs, activités terroristes et criminelles partout… Lire la suite »

    0
    Répondre
    Flux Articles récents en anglais
    • A New Palestinian Offer for Peace With Israel 6 juillet 2025 The Wall Street Journal
    • Why al-Sharaa’s success in Syria is good for Israel and the US 3 juillet 2025 Itai Melchior and Nir Boms
    • The Poisoned Chalice: President Trump’s Opportunity with Iran 27 juin 2025 General Kenneth F. McKenzie, Jr.
    • Post-Attack Assessment of the First 12 Days of Israeli and U.S. Strikes on Iranian Nuclear Facilities 26 juin 2025 ISIS
    • US ambiguity shouldn’t stop work on a two-state solution 25 juin 2025 David Schenker
    Flux Articles récents en arabe
    • كربلاء.. وسرديتها 6 juillet 2025 فاخر السلطان
    • مقال “وول ستريت جورنال” الذي يثير ضجة: إمارة إبراهيمية في “الخليل”! 6 juillet 2025 الشفّاف
    • نهج “القوات اللبنانية” الجديد في الشارع المسيحي: تحالفات أم احتواء؟ 5 juillet 2025 كمال ريشا
    • (تحديث) رسالة “سرية” من “الإصلاحيين” إلى إسرائيل عرضوا فيها دعمهم لتغيير النظام 5 juillet 2025 شفاف- خاص
    • الاستدعاءات في لبنان: عودة “الروح العضومية” 4 juillet 2025 عمر حرقوص
    19 septembre 2013

    Réflexion sur la Syrie (à Mgr Dagens)

    12 octobre 2022

    Putain, c’est compliqué d’être libanais

    24 octobre 2022

    Pourquoi je ne vais pas à Beyrouth

    10 janvier 2025

    D’un aounisme l’autre: lettre ouverte à Michel Aoun, ancien président de la République

    21 mars 2009

    L’AYATOPAPE

    Commentaires récents
    • Shaffaf dans Putain, c’est compliqué d’être libanais
    • Joumana habis dans Putain, c’est compliqué d’être libanais
    • نبيل الذوق dans Gouvernement Libanais: quand le pouvoir exécutoire rentre chez lui
    • Michael dans Nawaf Salam, le pari impossible d’un changement introuvable ?
    • أنطوان قربان dans Pourquoi Lokman, maintenant ?
    Soutenez-nous
    Donate
    © 2025 Middle East Transparent

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    loader

    Inscrivez-vous à la newsletter

    En vous inscrivant, vous acceptez nos conditions et notre politique de confidentialité.

    loader

    Subscribe to updates

    By signing up, you agree to our terms privacy policy agreement.

    loader

    اشترك في التحديثات

    بالتسجيل، فإنك توافق على شروطنا واتفاقية سياسة الخصوصية الخاصة بنا.

    wpDiscuz