La flexibilité du gouvernement jette la balle dans le camp des autres
La levée de la suspension de l’activité sportive, qui a été causé délibérément et avec préméditation par Ahmed et Talal Al-Fahad, a permis au gouvernement koweitien de leur fixer un ultimatum : Soit défendre les intérêts des athlètes, soit continuer de s’entêter à leur guise et camper sur leur position.
Cette dernière chance accordée aux deux Sheikhs est perçue comme une pression sur Sheikh Ahmad al-Fahd et son frère afin de montrer leur bonne foi, selon le journal « al-Qabas ».
La FIFA réagira-t-elle à l’initiative du gouvernement?
Le gouvernement koweïtien a coupé l’herbe sous les pieds de ceux, cherchant à détériorer les liens entre les pouvoirs législatif et exécutif, sous prétexte d’annuler la suspension du football Koweïtien.
Malgré la dure interaction et le fort enthousiasme de certains députés de la nation sur cette question, ce qui souligne le sens du patriotisme ainsi que la capacité d’assumer une telle responsabilité.
Le gouvernement a exprimé à travers le discours prononcé, lors de la séance d’ouverture de l’Assemblée nationale hier, par son ministre de l’Information et ministre d’État pour les affaires de la jeunesse Sheikh Salman Al-Hamoud, sa flexible à l’égard du retrait de la suspension des activités footballistiques , de sorte que l’équipe nationale puisse participer à la qualification pour la finale de la Coupe d’Asie prévue aus EAU début de 2019 .
Il s’agit d’une démarche positive de la part du gouvernement en la personne du ministre de l’Information et ministre d’État pour les affaires de la jeunesse Sheikh Salman Al-Hamoud Al-Sabah qui compte sur la communication avec les députés de la nation pour résoudre la crise et lever la suspension afin que les Koweïtiens puissent participer à ce grand évènement asiatique.
Cette bonne volonté du Koweït de vouloir relancer le football est traduite par la disponibilité de son gouvernement de discuter avec la FIFA et prendre les dispositions nécessaires pour lever la suspension à condition qu’elles ne nuisent pas à la souveraineté du pays et ne contredisent pas la Constitution et les lois en vigueur, selon le journal « al-Jarida ».